Je sèche dans l’écriture de ce blog, en mal d’inspiration.
Je sèche dans les idées de recettes (encore que dans ce cas il s’agisse plutôt de paresse).
Alors je délègue, comme pour ce plat entièrement signé Conquet. Il associe pâté de tête et farçous aveyronnais aux pruneaux venant directement de Laguiole.
Six pruneaux te regardent... |
Je m’en suis d’autant plus régalé que je n’ai pas eu besoin de l’assaisonner de la dose d’autocritique qui bien souvent me gâche le plaisir.
Je sèche les savoureuses mais pléthoriques tomates du jardin.
Tomate et re tomate.............. |
Allez, mes petites... |
Allez mes grandes... |
Je les enfourne dans le déshydrateur, réglé vers les 55°C, où elles resteront dans le sirocco une vingtaine d’heures (un peu moins pour les tomates cerises).
Déshydrateur sorti de son hibernation |
Elles en ressortiront biens desséchées, parées pour une longue conservation.
Accumulation de tomates cerises
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Les mêmes multicolores, vingt heures après |
Je ne puis m’empêcher d’en goûter quelques-unes. À savourer comme un bonbon, à la fois sucrées et acidulées… Et ce qui est intéressant à découvrir, c’est que les saveurs des diverses variétés se révèlent encore plus distinctes dans toutes leurs nuances qu’à la consommation à l’état frais.
Bon, maintenant je sèche pour trouver une conclusion. Tant pis, pour une fois vous vous passerez du mot de la fin !
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