Les malfaisantes |
Heureusement, pas seulement, car le cerisier croule sous les fruits.
Vieux croulant |
Confiture en puissance |
Un projet de confiture est en cours d'élaboration.
Mais revenons à mes petits pois urbains.
Ils ont permis de valoriser une opération vide-placard par une touche de fraîcheur bienvenue.
Escalopes ventrèche et petits pois du jardin ! |
De quoi se régaler avec deux escalopes de veau, mais aussi deux tranches de ventrèche roulée qui trainaient leur ennui au fond du frigo, se demandant pourquoi elles avaient été dédaignées, le reste d'un paquet de pâtes alsaciennes dont je me demandais pourquoi je les avais dédaignées, un morceau de pecorino s'exclamant "perché sono qui ? mi ha si dimenticato ?", requête à laquelle j'étais resté sourd car je ne parle pas un mot d'italien, et enfin deux gousses d'ail nouveau dernières rescapées d'une soustraction progressive.
Ma recette -si l'on peut parler de recette... :
Je fais revenir sur un trait d'huile d'olive les tranches de ventrèche, puis dépose les escalopes que je fais dorer rapidement sur les deux faces dans la graisse obtenue.
J'ajoute un demi-verre d'eau et fais rouler les petits pois à côté de la viande dans la poêle -je n'oublie pas de leur adjoindre les gousses d'ail.
Une fois l'eau évaporée, je peux verser les pâtes en légère sous-cuisson. Un soupçon de balsamique blanc qui ajoute des notes parfumées et sucrées, puis je tente avec plus ou moins de bonheur de regrouper les pâtes vers le centre et de dégager escalopes, tranches de ventrèche et petits pois -ambition plus esthètique que gastronomique...
J'émiette le pecorino sur la surface du plat.
Je termine par un soupçon de piment d'Espelette.
Eh ben, le résultat n'est pas si mal du tout !
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