Et pourtant il y pousse de l’oca. Ou plutôt il y poussait, car l’arrachage vient d’en être effectué.
L'oca est est là, sur le plan de travail de ma cuisine, à l’exception des plus beaux tubercules partis à la cave dans le noir, le frais, et l’attente d’un enfouissement au printemps pour une nouvelle récolte.
![]() |
C'est l'oca.. |
Mais pour le moment, il s’agit de les cuisiner.
Ce sera le plus simplement du monde : je les blanchis une dizaine de minutes dans de l’eau salée, puis finis la cuisson dans du beurre mousseux comme de vulgaires pommes de terre. Sauf que j’ai échappé à la corvée de pluches !
![]() |
Oca cuit |
Le cousinage de l’oca du Pérou avec l’oseille m’incite à le servir avec du poisson. En l’occurrence ce sera un pavé de saumon (ouais, je sais, ça n’a rien de très péruvien…) cuit à l’unilatéral.
![]() |
La chaleur monte |
![]() |
Une peau bien croustillante |
Le repas obtenu est simpliste, mais agréable
La prochaine fois, j’essayerai de préparer un plat plus élaboré, comme le cari oca, une spécialité de la cité de La Peur.
![]() |
Citoyens de La Peur pendant la Fête du Cari Oca |
Mais aujourd’hui ce n’était déjà pas si mal. J’ai connu des ocas pis !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire